TOHAR ENVIRONNEMENT propose des lampadaires destinés au grand public et aux collectivités.
En quoi la solution est innovante ?
Les lampadaires sont multifonctions, capables de purifier l’air extérieur, disposent d’une caméra de surveillance, d’un hologramme projetant les informations routières et/ou météorologiques, d’une tablette pouvant à la fois faire de la publicité, mais aussi partager des données relatives à la qualité d’air environnant. Une plateforme de maintenance permet de collecter toutes ces données grâce aux capteurs, et de gérer la maintenance à distance. Le lampadaire est 100% autonome énergétiquement et fabriqué en France. Enfin, une LED centrale peut être personnalisée, cela, en fonction des évènements de la ville, tel qu’octobre rose, un carnaval, le 14 juillet, etc …
Quel est l’impact de la solution sur les aspects environnementaux ?
Les lampadaires marchent de manière autonome, et donc permettent des économies d’énergies. Ils permettent de purifier aussi l’air extérieur, et ainsi de participer dans une certaine mesure, à la dépollution de l’air, grâce à sont traitement contre les particules fines.
Les collectivités peuvent utiliser les certificats d’économies d’énergies (CEE), afin d’acquérir à coût réduit nos lampadaires, et se faire rembourser de l’argent par l’état, si le seuil carbone est bien respecté.
Enfin les composants du lampadaire sont recyclés, et produits avec des matières premières qui ont un faible impact carbone, dans le processus de fabrication. Tohar est implatés dans en France pour commencer, tout en projetant d’exporter ses produits made in France à travers le monde.
En effet, ils ont pour objectif de réaliser un produit avec un savoir-faire 100% français, et contribuer à leur échelle, à une réindustrialisation d’un produit innovateur, comme peuvent l’être les lampadaires Tohar Environnement.
Quel est l’impact de la solution sur les aspects sociaux ?
Pour les impacts sociaux, Tohar Environnement avec ses lampadaires dernière génération, améliore la qualité de l’air de nos villes. Il faut rappeler que la pollution de l’air fait 48 000 morts prématurés par an, en France. Respecter la planète, c’est aussi moins polluer.
La pollution coûte cher à l’état, qui à ce propos vient d’être condamné pour inaction face à ce fléau (fait historique). L’Union Européenne a mis en place des seuils à ne pas dépasser, que malheureusement la France, mais aussi la Grande Bretagne et d’autres pays membres, dépassent bien trop souvent (cela coûte des milliards d’euros au contribuables).
Tohar Environnement prône l’éco-responsabilité. C’est pourquoi toute les usines avec lesquelles ils travaillent, participent au recyclage des matériaux et composants, grâce au dispositif des certificats d’économies d’énergies.
La volonté de réduire l’usage des énergies fossiles et la prise en compte progressive des impacts environnementaux que leur utilisation génère vont durablement renchérir le prix de l’énergie. Dans ce contexte, il apparaît vital pour les entreprises, tertiaires ou industrielles, de s’engager dès à présent dans une démarche de maîtrise de leurs consommations d’énergie. Pour accompagner les entreprises dans cette voie, de nombreux outils et mécanismes se mettent en place à l’échelle européenne ou nationale. Parmi ceux-ci, le dispositif des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) a été introduit par la loi sur l’énergie du 13 juillet 2005 avec pour objectif de réaliser des économies d’énergie dans les milieux diffus que sont les secteurs du bâtiment et de la petite et moyenne industrie.
Quel est l’impact de la solution sur les aspects sociétaux ?
L’impact sociétal est plus précisément sanitaire. En effet, améliorer la qualité de l’air que l’on respire, sur le long terme, aura un impact sur la santé de chacun.
La pollution aux particules fines, est une question prenant de plus en plus de place dans l’espace public. Ainsi, celle-ci soulève des questions essentielles pour notre futur, et celui des générations suivantes. Année après année, l’effet de cette pollution présente pratiquement tous les jours dans nos grandes agglomérations se fait sentir, et une corrélation est mise en exergue entre la pollution citadine, et les maladies liées à la respiration (asthme, cancer des poumons, …). Toutes ces particules fines influent donc sur notre santé tout d’abord, mais aussi de manière indirecte, sur les dépenses publiques liées à la santé.
La prise de conscience liée à l’environnement et à la santé publique ne cesse donc d’augmenter, notamment dans nos grandes agglomérations telles que Paris et sa banlieue. La politique menée par Anne Hidalgo en est le reflet : piétonisation des voies sur berges, mise en place d’espaces verts dans les rues en lien avec les collectivités, projet du grand Paris dans un but d’amélioration de la mobilité, par l’intermédiaire des transports en commun (transport dit propre ou vert), circulation alternée lors des pics de pollution, …
Cette question de la pollution aux microparticules, liée à différents facteurs tels que l’industrie ou les moyens de transport, implique d’une certaine manière a réinventer nos villes, pour les faire rentrer dans une politique d’urbanisme verte. C’est justement dans cette vision de réaménagement de nos villes, que nous allons présenter ici notre solution d’aménagement, permettant une réduction des risques sanitaires liés à cette pollution.